Complémentaire au domaine de Sérillan  à Floirac, cette proposition s'intéresse à de nouvelles formes d'habitat individuel en tissu urbain dense.

Les 121 maisons -perchées pour ne pas être inondées- marquent une transition entre un quartier d'échoppes et des grands ensembles.

Sur près de 2 hectares, ces 8  typologies amalgamées à taille humaine composent un îlot singulier, superposant terrasses, patios et cabanes en bois, palettes de gris, cours et d'arrière-cours emboîtées, aux façades plus impénétrables que transparentes.



Chaque équipe d'architectes a aménagé son cœur d'îlot avec des connexions piétonnes, visuelles parfois insuffisantes.

Ce méli-mélo foisonnant illustre bien le compromis entre l'habitat individuel groupé et l'habitat collectif individualisé.

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Vingt ans après son lancement et malgré de belles promesses, le bilan de cette expérimentation d’habitat durable est mitigé.  D’autres modes de faire la ville sont à l’œuvre.

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