«  Chais d'œuvre  ».

Au milieu du vignoble, cet ancien hangar industriel, plus pratique qu'esthétique, s'est vu rhabillé d'une seconde peau par deux architectes, ayant sévi à cette époque non loin pour la réalisation des  nouveaux chais du Château Pichon-Longueville.



Dans une illusion optique proche des travaux graphiques de  Vasarely, les façades latérales, composées de carrés installés obliques, s'amusent de notre perception des profondeurs et de la perspective par un astucieux jeu de nuances sur les triangles dessinés par les diagonales des carrés.



Ce hangar agricole, lieu d'ateliers, de garages et de stockage du matériel, est finalement aussi dynamique que l'image du domaine qu'il véhicule.



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