Cette résidence hérite des formes du mouvement moderne  : volumes purs, séparation des circulations, construction en béton et sur pilotis …

Les bâtiments sont tous différents, entre barres d’immeubles collectifs, tours et modules d’habitat individuel mitoyen. Ils ont tous des toit-terrasses.



Les maisons individuelles en maçonnerie blanche, en rez-de-chaussée ou à un étage, sont ordonnées selon une trame très régulière. De grandes baies vitrées ouvrent sur des terrasses, alors qu’elles sont plutôt fermées sur les espaces publics, préservant ainsi l’intimité des habitants.

Les maisons sont séparées par des barrières en bois, ou à l’étage des terrasses. Les abords sont largement végétalisés, et les parkings sont plantés d’arbres.



Un peu plus loin on trouve des bâtiments collectifs sur quatre étages, en béton et construits sur pilotis, pour libérer la circulation des voitures au rez-de-chaussée.

En avant de la barre d’immeuble la plus haute (huit étages), ascenseurs et escaliers forment une tour qui se détache du volume.



A l’époque ces formes architecturales sont une innovation, aussi technologique que sociologique.

Les espaces extérieurs végétalisés par exemple, bénéficient autant à l’environnement qu’au bien-être des habitants.